Escarre : Mobilisation, évaluation, cicatrisation (1/8)

Une escarre est une lésion cutanée, liée à une compression excessive ou prolongée des tissus.

Cette pression entraîne une nécrose ischémique par manque d’irrigation vasculaire. Son apparition peut être due à un manque de mobilité et/ou une maladie chronique. L’escarre est également décrite comme une « plaie » de forme conique à base profonde d’origine multifactorielle, ce qui la différencie des abrasions cutanées. Le rôle de la pression, du cisaillement et de la perte de mobilité est prédominant.

Nous sommes nombreuses à nous retrouver régulièrement face au besoin de prévention, d’évaluation et de cicatrisation de cette plaie chronique qui touche nos patients âgés et alités et dont l’incidence va ne faire qu’augmenter avec le vieillissement des populations :

Ainsi, plus de 85% des personnes développeront au moins une escarre au cours de leur vie.

Cette plaie entraîne à la fois une douleur physique et une souffrance morale, dégrade la qualité de vie et réduit l’autonomie des patients et reste une cause importante de morbidité et de mortalité.

Sa prise en charge, lourde et technique, nécessite, comme toutes les plaies chroniques qui touchent les personnes âgées, une étroite coordination médecins-soignants centrée autour du patient et de ses contraintes de mode de vie.

Une escarre est une lésion cutanée, liée à une compression excessive ou prolongée des tissus.

Cette pression entraîne une nécrose ischémique par manque d’irrigation vasculaire. Son apparition peut être due à un manque de mobilité et/ou une maladie chronique. L’escarre est également décrite comme une « plaie » de forme conique à base profonde d’origine multifactorielle, ce qui la différencie des abrasions cutanées. Le rôle de la pression, du cisaillement et de la perte de mobilité est prédominant.

Nous sommes nombreuses à nous retrouver régulièrement face au besoin de prévention, d’évaluation et de cicatrisation de cette plaie chronique qui touche nos patients âgés et alités et dont l’incidence va ne faire qu’augmenter avec le vieillissement des populations :

Ainsi, plus de 85% des personnes développeront au moins une escarre au cours de leur vie.

Cette plaie entraîne à la fois une douleur physique et une souffrance morale, dégrade la qualité de vie et réduit l’autonomie des patients et reste une cause importante de morbidité et de mortalité.

Sa prise en charge, lourde et technique, nécessite, comme toutes les plaies chroniques qui touchent les personnes âgées, une étroite coordination médecins-soignants centrée autour du patient et de ses contraintes de mode de vie.